Le programme de match

Dos au mur

Lundi 12 Février 2024 - 20h45
Stade Geoffroy-Guichard
Journée 24 - Ligue 2 BKT
AS Saint-Étienne
Ligue 2 BKT
ESTAC Troyes
ÉDITO

"Oui, nos deux derniers résultats sont ennuyants, mais ils embêtent aussi les joueurs. Ils voient leurs prestations et constatent que ce n’est pas de leur niveau. On ne peut pas être satisfaits de ce qu’on fait actuellement. (...) On ne peut pas rester impuissants. Ça voudrait dire qu’on a déjà abandonné et ce n’est pas le cas alors, on travaille, on cherche des solutions."

Olivier Dall'Oglio.


Sommaire
Cliquez sur une catégorie pour y accéder rapidement !

Le programme complet de la 24e journée

Samedi 10 février

15h : AJ Auxerre 1-0 Angers SCO
19h : AC Ajaccio 3-0 EA Guingamp
FC Girondins de Bordeaux 1-0 Grenoble Foot 38
SM Caen 2-0 Amiens SC
Paris FC 1-1 Pau FC
QRM 0-1 SC Bastia
Rodez Aveyron Football 0-0 USL Dunkerque
FC Annecy 0-3 US Concarneau
Valenciennes FC 1-1 Stade Lavallois MFC

Lundi 12 février

20h45 : AS Saint-Étienne - ESTAC Troyes

Les enjeux

Quitte ou double ! 

Jouant en clôture de cette 24e journée de Ligue 2 BKT, les Verts savent déjà à quelle sauce ils pourraient être mangés à l'issue de ce nouveau week-end de compétition. La première option, forcément plus réjouissante, pourrait permettre à l'ASSE de faire une belle opération, profitant des revers grenoblois ou encore des nuls entre PFC et Pau FC et de Laval à Valenciennes. Concrètement, un succès replacerait les Verts dans le Top 8. Mais les hommes d'Olivier Dall'Oglio le savent aussi, derrière, certains ont gagné. Les succès de Bordeaux, Concarneau et Bastia ont resserré les écarts. Attention !

L'arbitre

Azzedine Souifi au sifflet


Clôturant la 24e journée de Ligue 2 BKT, la rencontre, qui opposera les Verts à Troyes dans le Chaudron, lundi 12 février (20h345), sera arbitrée par Azzedine Souifi.


Le match de la 24e journée de Ligue 2 BKT, qui mettra aux prises les Stéphanois aux Troyens, lundi 12 février (20h45) au stade Geoffroy-Guichard, sera dirigé par Azzedine Souifi. Ce dernier sera assisté de Ludovic Zmyslony et de Frédéric Hébrard. En outre, les instances fédérales ont désigné Tifenn Leprodhomme en qualité d'arbitre remplaçant.


Cette saison, Azzedine Souifi a arbitré douze matchs de Ligue 2 BKT, avertissant 49 joueurs et en expulsant trois: le Dunkerquois Billy Koumetio lors de la réception de Grenoble (0-0), le Valenciennois Bruno Costa à Quevilly (0-0) ainsi que le Parisien Lamine Diaby face à Dunkerque (1-2). Il a notamment arbitré le match des Stéphanois en déplacement à Annecy, accordant un penalty à chacune des deux formations (1-1). Azzedine Souifi, la saison dernière, avait officié à 21 reprises en Ligue 2, distribuant 73 avertissements et expulsant trois joueurs. Une de ces rencontres concernait les Verts, victorieux au stade Charléty du Paris FC sur la marque de 4-2 grâce à des buts signés Ibrahima Wadji, Jean-Philippe Krasso sur penalty et un doublé de Niels Nkounkou.

L'
a
d
v
e
r
s
a
i
r
e
ESTAC Troyes

Relégués en Ligue 2 BKT, les Troyens, à l'aube d'une nouvelle saison qu'ils imaginaient être celle d'un regain attendu vainement lors du précédent exercice, ne sont pas parvenus à leurs fins. Patrick Kisnorbo, leur coach australien, a été remercié. Alou Diarra, vice-champion du monde en 2006, a effectué un intérim réussi en termes comptables et prometteur dans le contenu et une solidarité et une cohésion dans le jeu recouvrées. Avant de reprendre place sur le banc de la réserve et de transmettre le flambeau à David Guion, lui-même démis de ses fonctions aux Girondins. Le rebond, entrevu à Bordeaux (0-1) et face à Amiens (2-0), a trouvé un prolongement et valu à l'ESTAC, actuel 15eme, de s'extirper de la zone de relégation après avoir à nouveau dicté sa loi aux Aquitains (2-1).

Comme le nombre d'échecs essuyés par les Troyens depuis le 25 novembre. Preuve d'un nouvel élan, les Aubois, lors de leurs huit dernières sorties, l'ont emporté à quatre reprises, concédant deux nuls et subissant donc uniquement deux revers face à Angers (1-4) et à Concarneau (1-0).

Sous le maillot du Nîmes Olympique, aux côtés notamment de Malik Tchokounte, le néo-Troyen avait marqué les esprits et inscrit neuf buts dans une équipe en difficulté. Ces bonnes dispositions gardoises, l'international comorien, buteur pour sa première cape face à la République centrafricaine, les a validées dans l'Aube, trouvant le chemin des filets à six reprises, délivrant, en outre, une passe décisive, Sa vivacité, ses déplacements et son adresse constitueront sans doute un danger permanent.

L'album photos
Le groupe Réserve ne s'arrête plus !

En signant un sixième succès consécutif face à Espaly (1-0) le week-end dernier, le groupe Réserve a confirmé un peu plus son magnifique rebond. Désormais quatrièmes de leur poule, les Verts de Razik Nedder préparent actuellement deux rendez-vous importants. Face à Limonest d'abord (17 février, 17h), mais aussi le Derby contre Lyon, programmé à la fin du mois (25 février, 15h).

SUR LES
TRACES DE...
Nathanaël Mbuku
La prime au jeu

Le plaisir du jeu a toujours animé Nathanaël Mbuku. C'était, et ça l'est encore aujourd'hui, son ambition, son crédo, son moteur. À l'école de foot de Villeneuve-Saint-Georges, à Alfortville, au Maccabi Paris ou à l'US Ris-Orangis, il a promené sa bonne humeur communicative, le sourire en bandoulière. Et suscité quelques rictus agacés de ses adversaires impuissants face à ses accélérations et sa faculté à éliminer...


Lassina Cristofari : "Il a toujours créé des déséquilibres"


NathanaeI Mbuku est, en date, le dernier Vert, formé à Ris-Orangis, à s'être engagé avec l'AS Saint-Étienne. Allan Saint-Maximin, Paul-Georges NTep et Kévin Pédro, membre du groupe Réserve, l'ont notamment précédé du côté de L'Étrat. Joint au téléphone en Côte d'Ivoire où il assiste aux exploits de ses Éléphants revenus de nulle part, Lassina Cristofari se souvient parfaitement de ce gamin "toujours positif, souriant. Il a débarqué à Ris-Orangis avec son cousin pour jouer au foot. Tout simplement. J'avais en charge les U11-U12 et dès les premières séances, j'ai été bluffé. Il avait quelque chose en plus. Cela sautait aux yeux et sincèrement je me suis dit alors : il percera au grand jour. Il était doté d'énormes qualités. Surclassé, il était nettement au-dessus du lot. Il était vif, percutait, sortait souvent vainqueur de ses un contre un. Fin dribbleur, joueur d'instinct, il créait des déséquilibres, aimait provoquer. Mais ce qu'il aimait par-dessus tout, c'était le jeu. C'est ça : c'était et ça l'est encore. Nathanaël, c'est un amoureux du jeu."


Et d'ajouter : "Et puis, quel pied gauche magnifique ! C'est un bon gamin qui inventait des célébrations pour ses buts et avec lequel je suis toujours en relation. Dès les premiers contacts avec les Verts, il m'en a avisé. Il a confiance en moi. Je suis persuadé qu'il a effectué le bon choix en rejoignant l'ASSE. Ce devrait être un deal gagnant-gagnant. Il n'a été par hasard retenu dans toutes les sélections de jeunes ainsi qu'en Espoirs et avec France Olympique".


Des moins de 16 aux Olympiques avec lesquels, entré à la place d'Arnaud Nordin, il "claqua" dès sa première sélection face à la Corée du Sud, le néo-Stéphanois a en effet compilé 53 capes et inscrit 19 buts : des stats qui valent assurément mieux que tout long discours. 


Nathanaël Mbuku aux côtés de Dilane Bakwa, son coéquipier à Saint-Maur, désormais joueur du RC Strasbourg.


Corentin Bataille : "Une énergie positive" 


Cet indéniable talent, Corentin Bataille, qui dirigea le centre de formation du Stade de Reims, l'avait, lui aussi, décelé. C'est d'ailleurs dans l'historique club champenois que le jeune Francilien signera son premier contrat pro en novembre 2018, à l'âge de 16 ans. "Cela fait partie des missions qui incombent aux cellules de recrutement : assister au concours d'entrée à l'INF. C'était un jour d'hiver. J'étais grippé et j'avoue que j'aurais préféré rester au chaud au fond de mon lit", note Corentin Bataille dans un sourire. Cependant, ce déplacement à Clairefontaine ne se révélera pas vain; Sur le synthétique de Clairefontaine, il y a là des pépites, des "prospects", des joueurs dont le potentiel est déjà clairement identifié. Parmi eux, Nathanaël Mbuku. "Sa relation avec le ballon, ses très bons appuis, ce centre de gravité assez bas, cette faculté à se retourner nous ont intéressés. À l'issue de cette journée, nous l'avons, dans une démarche classique, invité à venir découvrir nos installations. Nous voulions naturellement l'observer sur du plus long terme."


Après deux années à l'INF, il rejoint donc définitivement le club rémois où il a laissé un excellent souvenir. "Un vrai bonheur pour un éducateur eu égard à son humilité, son enthousiasme, l'énergie positive qu'il dégage, cette motivation qu'il s'attache à transmettre et qui fédère. C'est un très bon joueur, plein de vie, avec un bel état d'esprit, déterminé à réussir. Je n'ai jamais eu connaissance du moindre problème de comportement. David Guion, avec sa sensibilité de formateur, n'avait pas hésité à le lancer en "première". Je ne doute pas qu'il saura rebondir à Sainté. C'est un super endroit pour se relancer", conclut Corentin Bataille. Des propos auxquels on souscrit bien évidemment sans sourciller.  

    

#LaRétro !

Quand Renaud Cohade la joue Copacabana

Légitimement encensés, les Verts, rois de la fête au Parc des Princes (1-2), se devaient cependant de redescendre de leur petit nuage. Le PSG "zlatané", il importait de passer à autre chose. "Nous devons nous prémunir de tout excès de confiance. Le groupe doit valider ce superbe résultat et pour ce faire, doit garder les yeux grands ouverts ainsi que les oreilles afin de bien entendre ce message: restons concentrés et gardons la tête froide. Méfions-nous des louanges. Si nous prenons ce match à la légère, nous irons droit dans le mur", avait alerté Christophe Galtier dans les colonnes de "La Tribune".  



Une ouverture du score made in Brasil

 

La première période face à une équipe troyenne, privée des services de Jérémie Bréchet, Julien Faussurier et de l'ex-Ligérien Sébastien Grax, mais requinquée en revanche par un succès obtenu aux dépens de l'OM, confirma les craintes exprimées par le coach stéphanois ayant dû composer avec les absences de Banel Nicolita et de Kurt Zouma. Évoluant en bloc bas, les Aubois, 19e, vendirent en effet chèrement leur peau. "Confronté à une telle organisation, tu peux tourner en rond 90 minutes durant sans pour autant trouver la parade. Les Verts l'ont fort heureusement trouvée", analysait, après coup, Robert Herbin. 


La solution, précisément, elle fut le fruit d'un exploit personnel signé Renaud Cohade. Un de ces golazos dont on se délecte et que l'on se repasse encore et encore, en boucle. Une merveille de contrôle sur un ballon par-dessus de Jonathan Brison, suivie d'une frappe de volée, côté opposé. Un enchaînement au plus que parfait, au retour des vestiaires. Une entame idéale avant un deuxième but inscrit en toute fin de match signé Pierre-Émerick Aubameyang, synonyme d'un sixième match consécutif sans revers, cinq en championnat, un en Coupe de la Ligue avec la conclusion que l'on sait, quelques mois plus tard, au Stade de France, tout proche de Paris et du Parc: la boucle était bouclée et bien bouclée.  


Samedi 10 novembre 2012

À Saint-Étienne (Stade Geoffroy-Guichard), AS Saint-Étienne bat ES Troyes Aube Champagne; 2-0 (0-0).

Arbitre: Ruddy Buquet; 22 438 spectateurs.

Buts pour Saint-Étienne: Cohade (46e), Aubameyang (88e).

Avertissement à Saint-Étienne: Brandao (51e).

Avertissements à Troyes: Rincon (6e), Marcos (81e).

ASSE. Ruffier - Clerc, Perrin (cap.), Bayal Sall, Brison (Ghoulam (71e) - J. Guilavogui (Lemoine, 81e), Clément, Cohade - Hamouma, Brandao (Gradel, 71e), Aubameyang. Entraîneur: Christophe Galtier.

TROYES. Y. Thuram - Colin, Jarjat, Rincon, N'Sakala - Obbadi (cap.), Ngoyi, Thiago (Marcos, 58e), Othon (Bahebeck, 75e) - Nivet (Yattara, 81e), Camus. Entraîneur: Jean-Marc Furlan.

L'OBJET

Les poteaux étaient carrés...

Maudits et (ou) légendaires, c'est selon. Fatals et quelque part sublimes tout à la fois tant ils semblent appartenir à l'imaginaire populaire. Terriblement frustrants bien évidemment mais également ô combien mémorables.


Un soir de mai 1976 à Glasgow, les poteaux carrés auront marqué à jamais l'histoire de notre club, contribuant bien malgré eux à une terrible désillusion tant le grand Bayern Munich du Kaiser Franz était apparu dans ses petits souliers, incapable de juguler des Verts au sommet de leur art. Des Verts qui se heurteront à deux reprises à ces poteaux carrés sur une frappe de Dominique Bathenay et à un coup de tête de Jacques Santini avant d'être défaits sur un coup pas très franc tant la décision arbitrale prêta à contestation, sanctionnant une "faute" bien légère...


Cette transversale qui hantera leurs nuits et viendra voler au secours de ce monstre sacré de gardien qu'était Sepp Maier escorté comme tout portier d'excellence qui se respecte de ce soupçon de réussite, ce facteur chance qui est leur marque de fabrique et qu'ils savent provoquer.


Retrouvés par Ivan Curkovic, comme un symbole !


En dépit de ce cruel échec (1-0), le Peuple Vert avait été à l'image de ses favoris : ponctuel au rendez-vous, dominateur dans les travées d'Hampden Park comme l'avaient été les hommes de Robert Herbin sur le pré. Leur reconnaissance à l'endroit de ce groupe incomparable fut à la hauteur de leur déception : immense. 48 ans plus tard, personne n'a oublié ce 12 mai 1976 et ces poteaux carrés.


Ces poteaux qu'Ivan Curkovic, icône de l'ASSE dont il est l'un des ambassadeurs à vie, les a retrouvés à l'automne 2012, à l'occasion d'un Écosse-Serbie comptant pour les qualifications à la Coupe du monde 2014 et auquel il assistait en sa qualité de vice-président de la Fédération serbe. Ils étaient là, rudoyés par l'usure du temps, dans les entrailles, la réserve en l'occurrence, de l'enceinte écossaise. En 2013, après de longues tractations, ils furent acquis par l'association ASSE-Musée des Verts. 


Si vous avez la riche idée de visiter celui-ci, vous découvrirez "cette légende qui se rencontre et qui se raconte", selon la propre confidence d'Ivan le Grand. Frissons garantis !


À l'instar de cet objet présenté dans cette rubrique consacrée aux 90 ans du club, le Musée des Verts a pour objectif de diffuser la grande histoire de l'AS Saint-Étienne. Depuis le 20 décembre 2013 et à travers 1 000 autres objets, le Musée incarne la fierté des supporters et les valeurs d'un territoire. À l'intérieur même du Stade Geoffroy-Guichard, venez découvrir cette riche et passionnante saga. Plus d'informations sur museedesverts.fr ou par téléphone au 04 77 92 31 80.

LES VERTES 👸
Regina
Otu
27 ans - Milieux

Regina, tu découvres depuis quelques mois la D1 Arkema... Alors, ça donne quoi ?

C'est un bon championnat ! Je suis contente d'évoluer dans cette belle compétition depuis plusieurs matchs maintenant. C’est vraiment une bonne expérience pour moi ! Je suis tellement heureuse d’être ici, je continue à apprendre tous les jours. Faut dire que le jeu est plus rapide et plus physique que ce que l’on a connu en D2 la saison passée !

 

Sur quelles qualités tu t'appuies pour performer dans ce championnat ?

Je suis une milieu de terrain physique, un peu box to box. À chaque entraînement, chaque match j’essaie de faire tout ce qui est possible pour aider l’équipe au mieux. J'ai à cœur de respecter ce qui est demandé par le coach.


Comment tu te sens à Saint-Étienne, presque deux ans après ton arrivée ? 

Je me sens bien ici, j’apprécie vivre à Saint-Étienne. Mes coéquipières sont devenues ma deuxième famille. Le groupe, le staff m’ont aidé dans mon installation et mon intégration, je leur en suis reconnaissante. Ce n’est pas toujours facile, notamment pour apprendre le français mais j’ai un professeur et j’essaye de travailler pour apprendre la langue et pouvoir mieux communiquer sur le terrain.

 


Côté terrain, la victoire du week-end contre Dijon est plus qu'importante !

Dès le début de cette rencontre, on savait à quel point la victoire était importante pour nous. L’équipe a fait du très bon travail, et je suis vraiment très heureuse et fière de notre prestation. Mais on sait aussi que ça ne s’arrête pas là et que le chemin continue pour atteindre notre objectif le plus rapidement possible.

 

Quel a été le discours du coach dans le vestiaire ?

Il nous a dit qu’il était très fier de nous, de la performance qu'on venait de livrer malgré les conditions météorologiques difficiles. On a su répondre sur le terrain et prendre notre revanche par rapport au match aller (les Vertes s'étaient inclinées 3-2 après avoir ouvert la marque, ndlr). 

 

Cap sur Reims désormais !

C'est une belle équipe, mais on se prépare à tout donner pour être à la hauteur du rendez-vous. Ce match est encore une fois très important pour nous. J'en profite pour remercier les supporters venus nous encourager face à Dijon. Leur soutien est très important, c’est une force supplémentaire. Au plaisir de les retrouver samedi face à Reims !

> Tous les articles sur les Féminines
E
C
H
O
S


Un sacré numéro : 10

Comme le numéro que porte le néo-Stéphanois, Nathanaël Mbuku. "Le 10, c'est un fameux numéro qui vous donne des responsabilités", confie l'ex-Rémois qui n'entend pas les fuir. "Avant, j'ai souvent évolué avec le 11 dans le dos. En référence à Freddy, mon père, qui a joué à Kinshasa, né un 11 février."


Un revers mais une belle récompense pour Dylan Batubinsika

Pour le dernier rendez-vous de la République démocratique du Congo à la CAN 2023, les Léopards défiaient, hier samedi, l'Afrique du Sud lors de la petite finale de la compétition. Titulaire pour l'occasion, Dylan Batubinsika a pris part à l'intégralité d'un match ayant duré près de 120 minutes. Muettes jusqu'à l'issue des prolongations, les deux équipes se sont finalement départagées lors d'une séance de tirs au but. À ce petit jeu, l'Afrique du Sud s'est imposée (6-5). 


Si Dylan Batubinsika doit se contenter d'une quatrième place, tout à fait honorable, le Vert peut également se réjouir d'une belle récompense individuelle puisqu'il a été élu joueur du match de cette petite finale.

Des retours, deux absents !

Si Dylan Batubinsika, aligné lors de la petite finale de la CAN 2023, fera son retour dans le Forez dans la semaine, deux joueurs partis disputer cette belle compétition en Côte d'Ivoire ont fait leur réapparition au Centre sportif Robert-Herbin. Ibrahim Sissoko, présent dans le groupe pour défier Troyes, et Karim Cissé étaient en effet en séance cette semaine. À noter que malade depuis plusieurs jours, Florian Tardieu n'est pas apte à disputer la rencontre prévue ce lundi. Tout comme Ibrahima Wadji, ménagé après une alerte à l'entraînement.