Le programme de match

Nouveau défi !

Samedi 25 Février 2023 - 19h00
Stade Geoffroy-Guichard
Journée 25 - Ligue 2 BKT
AS Saint-Étienne
Ligue 2 BKT
Pau FC
ÉDITO

"On a le même discours depuis quelques rencontres. À savoir qu’il faut prendre des points en étant sérieux et appliqués pour remonter au classement. Je ne mets pas de barrière aux joueurs. Je leur rappelle juste ce qu’on doit mettre en place au niveau du professionnalisme, de l’identité. Il faut le rappeler dans une période comme celle-ci. On doit rester dans une certaine forme de continuité et d’exigence sur et en-dehors du terrain."

Laurent Batlles.

Sommaire
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Le programme complet de la 25e journée de Ligue 2 BKT

Samedi 25 février
15h : Grenoble Foot 38 – Havre AC
19h : EA Guingamp – SM Caen
          Stade Lavallois MFC – Quevilly Rouen
          FC Metz – Nîmes Olympique
          Paris FC – Chamois Niortais FC
          Rodez AF – SC Bastia
          AS Saint-Étienne – Pau FC
          FC Sochaux-Montbéliard – FC Annecy
          Valenciennes FC – Dijon FCO

Lundi 27 février 

20h45 : Amiens SC – FC Girondins de Bordeaux

Metz veut y croire !

"Il faut y croire. On est invaincus depuis octobre et on n’est pas loin, même si nos matchs nuls ne nous font pas avancer." Alexandre Oukidja, gardien de but du FC Metz, actuellement quatrième de Ligue 2 BKT, pense à la montée. Si quatre points séparent les Messins des Bordelais, qui occupent actuellement une deuxième place synonyme de promotion en Ligue 1 Uber Eats, les Grenats marquent le pas depuis quelques semaines. Les hommes de László Bölöni restent en effet sur deux 0-0 concédés face à Caen puis Dijon. "Avant, on marquait beaucoup et on encaissait beaucoup aussi. Maintenant, on marque moins et on encaisse moins… Il faut trouver le juste milieu. Je ne suis pas inquiet" tempère toutefois le portier qui se veut toujours ambitieux. 


Les Verts peuvent regarder de l'avant 

Certes, la situation précaire des Stéphanois au classement nous oblige encore à regarder vers l'arrière. Mais les Verts, qui comptent désormais quatre points d'avance sur la zone rouge, peuvent également jeter un œil de l'avant. À leur portée, le Paris FC et Valenciennes qui joueront respectivement face à Niort et Dijon à la maison. Autrement dit, s'ils s'imposent, les hommes de Laurent Batlles peuvent, quoi qu'il arrive, faire le bon coup de cette journée. Soit, parce qu'ils creuseront un peu plus l'écart avec les quatre derniers, soit, parce qu'ils passeront la semaine à une 13ème place bien plus rassurante que celle qu'ils occupent depuis plusieurs mois.

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Pau FC

Si la venue à Pau, l'été dernier, de Quang Hai Nguyen surnommé "Le Messi vietnamien", précédé d'une flatteuse réputation et suscitant attente et curiosité, n'a pas forcément eu l'impact escompté sur la montée en puissance de la formation béarnaise, le club, coaché par le Forézien Didier Tholot, visant le maintien, a vécu une phase aller conforme à ses ambitions et se positionne aujourd'hui encore au-dessus de la ligne de flottaison. Et ce, en dépit d'un évident coup de moins bien et d'une division offensive peu prolifique : avec 20 buts marqués, les Pyrénéens devancent uniquement les Parisiens (19) au classement des attaques de la Ligue 2 BKT. A contrario de Quang Hai Nguyen, le renfort de l'ex-Toulousain et Lorientais, Quentin Boisgard lors du mercato hivernal a en revanche tout du choix pertinent.

Avec zéro expulsion au compteur, le Pau FC fait indéniablement figure de bon élève en termes de discipline. Voire même d'excellent. Mieux, il s'agit tout simplement du premier de la classe en la matière. Le seul en l'occurrence à ne pas avoir vu rouge et avoir terminé ses 24 matchs au complet. Les Verts, en revanche, avec sept exclusions, pointent tout en bas de ce classement.

À 32 ans, Henri Saivet a relancé dans le Béarn une carrière à l'arrêt après avoir connu des moments compliqués du côté des Magpies de Newcastle et d'un certain Allan Saint-Maximin. Milieu de terrain expérimenté, ayant d'ailleurs porté le maillot vert lors de la saison 2016-2017, l'international sénégalais (28 capes), vainqueur et buteur lors de la finale de la Coupe de France 2013 avec les Girondins de Bordeaux face Évian-Thonon-Gaillard (3-2), réalise un exercice plein sous la tunique paloise. Il a disputé vingt matchs, s'est montré influent, habile sur les coups de pied arrêtés et a inscrit quatre buts dont un doublé sur coups francs face à l'ASSE, lors du match aller (2-2).

L'album photos
Une journée immersive 100% ASSE !

L'ASSE leur avait donné rendez-vous mercredi dernier au Centre sportif Robert-Herbin pour vivre une journée en immersion dans l'univers du club : 14 jeunes supporters, membres du Kids' Club, ont été accueillis dès 10h pour assister, aux premières loges, à l'entraînement de l'équipe professionnelle dirigée par Laurent Batlles. 


À l'issue de celle-ci, ils ont déjeuné au sein du self du Centre sportif avant de rejoindre le capitaine des Verts, Anthony Briançon, en salle de conférence de presse. Durant près de 45 minutes, ils ont pu poser des questions sur le parcours, l'expérience, les rêves et la récente blessure du numéro 23 stéphanois. 

SUR LES
TRACES DE...
Jean-Philippe Krasso
La résilience au service du talent

"J.P., enfant, était mal dans sa peau. Il n'avait pas confiance en lui, doutait mais, pour autant, il n'a jamais lâché. On ne lui a rien donné. Ce qu'il est devenu aujourd'hui, un footballeur de qualité et un homme bien, sain, humble, apprécié du vestiaire, il ne le doit qu'à lui-même et à son entourage, et notamment sa maman." Ses propos, nous les avons empruntés à son premier éducateur à Chartres Horizon, David Natier, tout aussi modeste que le prolifique buteur et passeur des Verts. "J'ai encore en mémoire sa première séance. En l'occurrence, des exercices devant le but. J.P. réalise un bel enchaînement et frappe dans la foulée au-dessus de la transversale. Il s'écroule en pleurs." Désormais, ce sont les défenses et gardiens adverses qui affichent une mine déconfite lorsqu'ils croisent sa route.


David Nantier : "Nous avons posé une première pierre à l'édifice"


"Nous l'avons choyé, avons été très exigeants envers lui. Pour son bien. Et il l'a parfaitement compris. Quelque part, à notre petit niveau, nous avons contribué à le construire, à lui donner une certaine forme de rigueur. Nous avons en somme posé la première pierre à l'édifice." Des bases solides, on en conviendra aisément quand bien même Jean-Philippe Krasso aurait-il connu un parcours atypique, ne ressemblant en rien à un long fleuve tranquille. "Alors qu'il était U13, je l'ai accompagné au premier tour de détection afin d'intégrer le Pôle Espoirs. Il avait été bon, voire très bon mais curieusement, il n'avait pas été retenu. Il était frustré, dans l'incompréhension. Il était en avance morphologiquement parlant mais il ne s'agissait pas de son seul atout. Et au final, cela l'a sans doute desservi ce jour-là", se remémore David Nantier.



Partant du principe que les échecs nourrissent les succès de demain, Jean-Philippe, état d'esprit irréprochable en bandoulière, ne rendit pas les armes et fut incorporé au Sports Études du Collège Mathurin Régnier. "En U14, il évoluait en pointe et portait littéralement l'équipe. Il était attiré par le but. Avec lui devant, on savait que ça allait faire ficelle !" Le Pôle Espoirs de Châteauroux lui ouvrit alors enfin ses portes, un an plus tard. "C'était incontestablement l'un des meilleurs éléments du groupe. Je me souviens d'un match à Clairefontaine où il avait signé un doublé et délivré une passe décisive. Il y avait pas mal de recruteurs." Et le portable, comme par enchantement, de vibrer et vibrer encore. "Valenciennes, Tours, Lyon et Lorient avaient jeté leur dévolu sur lui." Ce sont finalement les Merlus qui l'attirèrent, à 16 ans, dans leurs filets. "Il était encore jeune. C'était le seul 97". Et l'aventure morbihannaise s'interrompit.


Xavier Collin : "Le profil qu'il nous fallait"


Mais J.P. était bien décidé à aller au bout de ses rêves, quitte à réviser ses gammes, repasser par la case amateurs et effectuer un détour par l'Alsace et Schiltigheim. C'est là que Xavier Colin, son futur coach à Épinal, l'a repéré. "Il avait claqué d'entrée. Doté, d'une belle patte gauche, il jouait sur le côté, était puissant. Il pouvait non seulement représenter un intéressant point d'appui mais également percuter, faire mal, éliminer. Aussitôt, je me suis dit : voilà l'attaquant qu'il nous faut. Il a le profil recherché. Il a été l'un des artisans majeurs de notre parcours en Coupe de France en 2020 (le club vosgien, engagé en N2, fut éliminé par les Verts, futurs finalistes, en quart de finale, 1-2). On a tous en mémoire son doublé face à Lille qui a servi de révélateur. Il s'appuie, en outre, sur une décontraction bluffante. Son altruisme n'est plus à louer. Il a en lui cette faculté rare à faire jouer les autres. Jean-Philippe, c'est un grand nounours qui a besoin de se sentir en confiance. Partout où il est passé, il a fait l'unanimité. Attachant, au top dans un vestiaire, il a grandi et passé un cap en Corse et à Sainté. Et je n'en suis pas surpris. Il avait tout pour réussir. Il doit cependant être plus présent dans la surface, plus tueur devant le but", juge, pour sa part, l'ex-défenseur ajaccien, Xavier Collin, son entraîneur dans les Vosges.


Avant d'ajouter : "Je suis toujours en lien avec lui et avec sa maman." C'est également le cas de David Natier pour lequel "J.P. a valeur d'exemple. Au club, on se réfère à son parcours. Dans le cadre de la section, il était venu conter son histoire de vie. C'était passionnant. Quel plaisir de le voir réussir !" Jean-Philippe Krasso : vous avez dit attachant !

#LaRétro !

La "qualif" au bout de la nuit

Alors que la fin de saison s'avance à grands pas, André Laurent, qui a fêté ses dix ans de présidence, planche, avec le staff, sur les contours du futur exercice. On évoque l'arrivée souhaitée du Marseillais Franck Sauzée, celles de l'avant-centre autrichien Anton Polster et du défenseur havrais Jean-Pierre Delaunay. Aucun d'entre eux, au final, ne posera son sac dans le Forez. L'autre priorité du moment consiste à conclure cette année 1993 sur une note souriante. Les Verts, sixièmes en championnat, ont été ponctuels au rendez-vous. Et peuvent désormais se consacrer sans réserve à un objectif majeur : la Coupe de France. Passés à travers les gouttes face à Épinal (D2), battu à l'issue de la séance des tirs au but (1-1, 6 tab à 5), les Verts ont-ils retenu la leçon de cet avertissement sans frais ? S'apprêtent-ils à monter dans le quart aux dépens d'un rival à priori modeste et devant, de surcroît, surmonter le handicap d'un déplacement dans le Chaudron ?


Longtemps, les Stéphanois, privés des services de Didier Tholot, blessé à un orteil et contraint à jouer sous infiltration une semaine auparavant face à Sochaux (2-0), et de ceux de Maurice Bouquet et Pascal Despeyroux "out", butèrent sur une formation paloise, leader du Groupe Centre-Ouest de Troisième Division et demeurant sur un succès obtenu à Cugnaux, coaché par un certain Christian Lopez. 


Une prolongation parfaitement gérée


Alors qu'ils portaient un crêpe noir en hommage aux victimes de la catastrophe de Furiani à Bastia survenue, jour pour jour, un an plus tôt, les hommes de Jacques Santini butèrent longtemps sur Arnaud Sabonnadière, un gardien en état de grâce, formé à Nantes et Champion d'Europe Juniors avec la sélection française. Les Béarnais de l'ex-Stéphanois Nicolas Forge, suspendu en l'occurrence, arrachèrent ainsi le droit de disputer la prolongation au cours de laquelle le magicien Lubomir Moravcik et son coéquipier slovaque, Milan Luhovy parvinrent enfin à débloquer la situation (2-0).


Déplorant, dans les colonnes de" La Tribune", "le manque de hargne de son équipe" et rappelant "le rôle primordial joué par Joseph-Antoine Bell dans cette qualification", Jacques Santini invita ses troupes à hausser leur niveau de jeu. Ce qu'elles firent en s'imposant à Montpellier (1-2) avant d'éliminer l'OM, futur vainqueur de la Ligue des Champions de l'UEFA (2-1) mais hélas d'échouer, en revanche, en demi-finale, face au FC Nantes (0-1) sur un but de Nicolas Ouédec.


Mercredi 5 mai 1993

À Saint-Étienne (stade Geoffroy-Guichard), AS Saint-Étienne (D1) bat Pau FC (D3): 2-0 ap (0-0).

Arbitre : Jean-Marie Lartigot  ; 6 202 spectateurs.

Buts pour Saint-Étienne : Moravcik (104e), Luhovy (109e).

Avertissements à Pau : P. Plancque (106e), Legaz (112e).

ASSE : Bell - Deguerville, Cyprien, Pagal, Kastendeuch - Lambert (T. Camara, 61e), Moravcik, G. Passi (Cuervo, 79e), Moreau -  E. Mendy, Luhovy. Entraîneur : Jacques Santini.

Pau : Sabonnadière - Rolling, Legaz, Cazenave, Radovanovic - Lagaronne, Thompson, P. Plancque, Rabat - Boutal, Meudic. Entraîneur : Slavo Muslin.

L'OBJET

Lucarne magique

Rembobinons le film de l'histoire. Celle d'un enfant de Lorraine doté de talents rares. Devant la lucarne magique, le poste, disait-on alors, vous êtes confortablement installé dans votre salon, prêt à vibrer, à vous enflammer, à vous délecter de cette trajectoire diabolique, de cette frappe enveloppée. Elle ne fera pas un pli. Michel Platini, comme dans un fauteuil, celui dont vous bondissez, fou de joie et d'admiration mêlées, a, une fois encore, trompé la vigilance d'un gardien averti mais n'en valant pas deux en l'occurrence. 


Celui qui défendra avec un infini talent le maillot vert, trois saisons durant, aura marqué les années 80-90 par sa capacité à scorer. Et scorer encore sur ces coups de pied arrêtés dont il était le maître absolu. Avec une aisance insolente, une récurrence bluffante, une précision chirurgicale. Les toiles d'araignée auraient pu en témoigner !


L'étoile du dixième titre


Mais l'on ne saurait bien évidemment résumer "Platoche" à ses seuls coups francs. Ce serait terriblement réducteur. Car son talent, immense, pouvait s'exprimer dans bien d'autres domaines : intelligence de jeu, prise de décision ultra-rapide, ouvertures aux petits oignons, millimétrées et dévastatrices sans oublier, bien sûr, une technique d'orfèvre, ciselée lui valant d'éliminer, de temporiser, de trouver la solution à tout problème. "Lorsque nous étions en difficulté, on refilait la gonfle à Michel. Il ne la perdait pas et nous enlevait une belle épine du pied", se souvient Christian Lopez, admiratif. "Il conjuguait classe et charisme", abonde Gérard Janvion.  



Au sein de la maison verte, il s'est, en outre, étoffé physiquement. "Il avait un talent monstre mais, en revanche, ce n'était pas un athlète", confiait Robert Herbin, un expert en l'espèce. Lorsqu'il fut amené à quitter le Forez, l'été 1982, et à rejoindre la Juventus de Turin, il avait, en l'occurrence, franchi un palier et permis à l'ASSE de se parer d'une étoile. Et quelle étoile ! Celle qui symbolise dix titres nationaux : un exploit que l'AS Saint-Étienne fut la première à réaliser dans l'Hexagone.


Avec "la Vieille Dame", il régalera les tifosis de ses entrechats et... de ses fameux coups francs. Capocannoniere à trois reprises, il mettra au supplice les gardiens transalpins et l'Italie à sa botte, s'offrant, entres autres nombreux trophées, trois Ballons d'Or ! Le tout avec le sourire, ses bons mots et autres plaisanteries. Son autre marque de fabrique. Chapeau, l'artiste !  

 


À l'instar de cet objet présenté dans cette rubrique consacrée aux 90 ans du club, le Musée des Verts a pour objectif de diffuser la grande histoire de l'AS Saint-Étienne. Depuis le 20 décembre 2013 et à travers 1 000 autres objets, le Musée incarne la fierté des supporters et les valeurs d'un territoire. À l'intérieur même du Stade Geoffroy-Guichard, venez découvrir cette riche et passionnante saga. Plus d'informations sur museedesverts.fr ou par téléphone au 04 77 92 31 80.

Le match : Un numéro 10 d'exception

Trois saisons durant, de 1979 à 1982, Michel Platini, débarqué de Nancy, aura régalé les supporters des Verts et enflammé Geoffroy-Guichard de ses coups de patte et autres arabesques. Il aura également affolé les compteurs, inscrivant pas moins de 82 buts en 145 matches, signant notamment un quadruplé face à Valenciennes, le 22 novembre 1981 (5-1) !

Avec l'AS Saint-Étienne, en 1981, il remportera son seul titre de champion de France, le dixième pour le club stéphanois, inscrivant un doublé lors de la 38e et ultime journée, le 2 juin, face aux Girondins de Lacombe, Soler, Girard, Bracci et Trésor (2-1). 


Le 15 mai 1982, il disputera son dernier match en Vert au Parc des Princes à l'occasion d'une finale de Coupe de France mémorable qui le verra trouver le chemin des filets à deux reprises mais s'incliner à l'issue de la séance de tirs au but face au PSG d'un certain Dominique Rocheteau (2-2, 6 tab à 5). Avec l'ASSE, il prendra également une part importante dans deux succès retentissants réalisés sur la scène européenne face au PSV Eindhoven (6-0), le 7 novembre 1979 et à Hambourg (0-5), le 26 novembre 1980 : deux cadors du Vieux Continent proprement corrigés.  


Avec les Bleus, dont il fut le maestro incontesté, Michel Platini s'illustrera tout particulièrement pour son retour dans "le Chaudron", lors de l'Euro 1984 et un triplé face à la Yougoslavie (3-2).

Influent, efficace, acteur, charismatique et talentueux, Michel Platini aura indéniablement laissé une trace indélébile de son passage dans le Forez au début des eighties. 

LES VERTES 👸
Florine
Belin
21 ans - Défenseure

Quel est ton premier souvenir de foot ?

C’est moi, tout simplement en train de jouer au foot avec mon père dans mon jardin quand j’étais petite ! C’est également grâce à mon père que je me suis inscrite dans mon premier club. 


Où as-tu commencé ?

Dans un petit club près de chez moi, l'AS Miserieux Trevoux. J’étais avec les garçons et d’ailleurs, je me suis inscrite avec mon meilleur ami. Je garde de bons souvenirs de ces années-là.


Un souvenir en particulier ?

Je me souviens d’un tournoi en salle où nous sommes arrivés premiers. C'est mon premier trophée, ça compte !


Pourquoi avoir rejoint l'ASSE cet été ?
Pour le projet sportif et l’ambition du club qui est de remonter en D1 Arkema. Au-delà de ça, l'ASSE est un grand club en France de part son histoire et son prestige. Pour moi, l'ASSE était et est toujours un club emblématique du football français.


Comment se passent tes premiers mois ici ?
Bien ! Je me suis bien intégrée dans le vestiaire et à ma vie de Stéphanoise.


Et sportivement ?
Nous avons réalisé un très bon début de saison avec un très bon effectif et des résultats qui suivent On a la chance d'être actuellement invaincues en championnat et en tête du classement.
On vient de débuter notre deuxième partie de la saison et je l’aborde avec autant de sérieux et d’implication que notre première partie d'exercice. On espère forcément obtenir les mêmes résultats qu’en début d’année.


Qu'est-ce qu'on peut te souhaiter ?
Sur plan collectif, la montée en D1 Arkema et de bons résultats jusqu'au bout. Sur le plan personnel, de bonnes performances pour prendre part à cette fin de saison excitante.

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Gaëtan Charbonnier opéré avec succès

Victime d'une rupture du ligament croisé antérieur il y a un peu plus d'une semaine, Gaëtan Charbonnier a été opéré avec ce succès, mardi matin, à Paris. L'attaquant des Verts a tenu à remercier le Peuple Vert et ses coéquipiers, vainqueurs à Nîmes (1-2) : "Opération terminée, tout s'est bien passé ! Merci aux Verts pour la victoire hier soir et la dédicace. C’est le début d’un long chemin, mais je reviendrais. Merci pour vos messages !"


Yanis Lhery passe professionnel... 

Ce vendredi, Yanis Lhery, jeune attaquant pensionnaire du Centre sportif Robert-Herbin, a signé son premier professionnel avec son club formateur. Désormais lié à l'ASSE jusqu'en 2025, de Tremblay-en-France en Seine-Saint-Denis, passé par le club partenaire du FC Montfermeil, s'est confié : "C'est une grande fierté de signer mon premier contrat professionnel dans mon club formateur. Je remercie tout mon entourage et mes éducateurs du Centre de formation qui m'ont permis d'atteindre ce premier objectif. Je suis conscient que le chemin est encore long et qu'il me reste encore beaucoup de travail et de nombreux paliers à passer pour un jour pouvoir prétendre jouer à Geoffroy-Guichard."


Mathys Saban prolonge !

Autre récompense pour un membre de la Génération Verte. Mathys Saban, apparu à cinq reprises sous les ordres de Laurent Batlles cette saison,  a paraphé une prolongation de contrat. Passé professionnel en 2020, le jeune ailier est désormais lié à l’ASSE jusqu’en 2025. "Je suis très content de prolonger l'aventure avec mon club formateur, le club que j'aime et dont je défends les couleurs depuis plusieurs années" a réagi le joueur âgé de 20 ans.