Un sacré numéro
Il fut un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître où l'attribution des numéros était particulièrement réglementée, fixée dans un cadre strict. Du 1 au 11. Et point barre. Le portier ouvrait le bal et portait le numéro 1, le défenseur latéral gauche le 3, le demi défensif le 6, l'ailier droit le 7 et l'avant-centre le 9. Ce temps-là est révolu. Désormais, et ce depuis une décision validée par le Conseil d'Administration de la LFP le 8 juin dernier, les joueurs peuvent porter un numéro de maillot allant de 1 à 99. Mais au fait, que se cache-t-il derrière ces numéros ?
Découvrez-le dans cette rubrique intitulée "Un sacré numéro", consacrée aujourd'hui à Gautier Larsonneur, Aïmen Moueffek et Lamine Fomba. 30-29-26 ou le trio gagnant du jour.
Gautier Larsonneur : "À l'instar de la plupart des gardiens de but, j'ai toujours porté le numéro 1. Chez les Verts, ce sera le 30. Un clin d'œil à ma sœur cadette, prénommée Éva, née un 30 juin."
Aïmen Moueffek : "J'ai opté pour le 29. Pourquoi ce choix ? Il n'y a pas de raison particulière. Quoi qu'il en soit, il s'agit bien de mon numéro fétiche."
Lamine Fomba : "Le 26 est tout simplement lié à ma date de naissance. Je suis né en effet le 26 janvier 1998. À Auxerre, je portais le numéro 31. À Nîmes, j'ai opté pour le 12, celui de mon meilleur ami, Birama Touré, dans le club icaunais."
Le dernier numéro avec Saïdou Sow, Mathieu Cafaro et JP Krasso