Alex Dias: "ASSE-Marseille, mon meilleur souvenir"
Acteur inoubliable des confrontations face à l'Olympique de Marseille, le Brésilien se souvient avec bonheur de ces rencontres qui l'ont fait entrer dans une autre dimension.
            Que représente, dans ta carrière, la victoire décrochée contre l'OM (5-1) en décembre 1999?
C'est tout simplement mon meilleur souvenir à Saint-Étienne. Quatre buts dans un match, ça ne m'est arrivé que deux fois dans ma carrière: à Saint-Étienne et à Goiana. Dans n'importe quel match, un quadruplé c'est déjà quelque chose de fort et moi, j'ai eu la chance de connaître ce bonheur dans un grand match, contre une grande équipe. Marquer quatre buts contre Marseille, faire la panthère devant ces supporters qui ont une passion intense pour leur équipe, pour leur club, c'est un souvenir incroyable. Aujourd'hui encore, je me souviens très bien du match et de mon but en reprise de volée à l'extérieur de la surface.

La panthère, une manière de rendre hommage aux supporters
Ta célébration est aussi entrée dans l'Histoire…
Ça m'est venu comme ça, la panthère c'est le symbole de l'ASSE et c'était une manière de rendre hommage aux supporters. Quand je suis arrivé du Brésil avec Aloisio, on connaissait mal le club et sa grande histoire mais j'ai découvert des supporters passionnés par leur équipe qui faisaient beaucoup pour animer les matches. Ça m'a vraiment rendu admiratif et j'ai toujours eu  envie de leur rendre hommage.
Pourquoi tes saisons en Vert t'ont-elles marqué?
Ce match et cette saison-là m'ont fait vivre les instants les plus forts de ma carrière. Sportivement, c'est à Saint-Étienne que j'ai été le meilleur et c'est aussi à Saint-Étienne que j'ai été le plus marqué par mon impact en tant que joueur. Je me souviens que certains supporters avaient donné mon nom à leur enfant. C'est fort!
Vingt ans après, tu restes une référence pour tous les supporters...
Je suis heureux et fier qu'on se souvienne encore de moi aujourd'hui et que les Stéphanois me portent toujours dans leur cœur. Le fait d'avoir marqué et donné une passe décisive sur mon premier match alors que j'étais remplaçant a dû marquer les supporters et, ensuite, leur soutien n'a fait qu'augmenter au fur et à mesure que je marquais. Il y avait même des drapeaux du Brésil dans le stade. Aujourd'hui, j'adorerais revenir à Saint-Étienne pour faire mon jubilé à Geoffroy-Guichard devant les supporters.
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